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Plumes1 dans
Chansons célèbres le
18 Août 2007 à 18:49
MA LIBERTE DE PENSER
Quitte à tout prendre Prenez mes gosses et la télé Ma brosse à dents, mon revolver La voiture ça c'est déja fait Avec les interdits bancaires Prenez ma femme, le canapé Le micro ondes, le frigidaire Et même jusqu'à ma vie privée De toute facon à découvert Je peux bien vendre mon âme au diable Avec lui on peut s'arranger Puisqu'ici tout est négociable. Mais vous n'aurez pas MA LIBERTE DE PENSER Prenez mon lit les disques d'or ma bonne humeur, Les p'tites cuillères tout c'qu'à vos yeux a de la valeur et non je n'ai plus rien à faire Quitte à tout prendre n'oubliez pas Le shit planqué sous l'étagère tout c'qui est beau et compte pour moi J'préfère qu'ça parte à l'abbé Pierre j'peux donner mon corps à la science Si y a quelque chose à prélever et que ça vous donne bonne conscience mais vous n'aurez pas MA LIBERTE DE PENSER MA LIBERTE DE PENSER Hepppppppppppp Hepppppppppppp J'peux vider mes poches sur la table Ca fait longtemps qu'elles sont trouées Baisser mon froc j'en suis capable Mais vous n'aurez pas MA LIBERTE DE PENSER Quitte à tout prendre et tout solder Pour que vos p'tites affaires s'arrangent J'prends juste mon pyjama rayé je vous fais cadeau des oranges Vous pouvez bien même tout garder J'emporterai rien en enfer Quitte à tout prendre j'préfère y aller Si l'paradis vous est offert HEEEEEEEEEEEEE Je peux bien vendre mon âme au diable Avec lui on peut s'arranger Puisqu'ici tout est négociable Mais vous n'aurez pas Non vous n'aurez pas MA LIBERTE DE PENSER MA LIBERTE DE PEN......SER
SOLO LE PIDO A DIOS Solo le pido a Dios Que el amor no me sea indiferente Que la reseca muerte no me encuentre Vacio y solo sin haber Hecho lo suficiente
Solo le pido a Dios Que la guerra no me sea indiferente Es un monstruo grande y pisa fuerte Toda la pobre inocencia de la gente
Es un monstruo grande y pisa fuerte Toda la pobre inocencia de la gente
Solo le pido a Dios Que el futuro no me sea indifirente Desahuciado esta el que tiene que marchar Para vivir u ... ...
Un homme au grand coeur !
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Plumes1 dans
Chansons célèbres le
18 Août 2007 à 18:43
ON S'ATTACHE J'ai pas le style portant pas en style mais c'est pas pour moi le costard uniforme j'ai pas l'intégrale du genre idéal j'aurais toujours l'impression qu'on m'espionne pourtant pas contre l'amour je s'rais même plutôt pour REF : mais c'est pas pour autant qu'il faut qu'on s'attache et qu'on s'empoisonne avec une flèche qui nous illutionnes faut pas qu'on s'attache et qu'on s'emprisonnes mais rien n'empêche que l'on s'abandonnes non... d'un chef de file j'en ai pas l'profile mais sur l'oreiller j'aime pas qu'on me questionne je suis pas James Bond entouré de belles blondes ( non non non ) j'envie même pas les hommes qui papillones pourtant pas contre l'amour j'attends plutôt mon tour REF on laisse rien le quotidien sa me tue, sa me tien, sa me fait mal rien de plus normal mais tu t'enfiles dans le fil il faut pas que tu dépasses à chaque que tu ose qui mais t'es qui ? t'es pas normal REF x3 choeur : c'est beau l'amour j'attend mon tour
PARCE QU'ON SAIT JAMAIS Tant de plaisirs faciles, d'envies puériles Qui nous retiennent vers le bas Prêts à n'importe quel deal quand il faut mourir On se met à tout croire
Refrain (x2) : Parce qu'on sait jamais On regarde vers le haut S'il y a un après
On est capable du pire des mea culpa De toutes les mauvaises foies Qui pourrait encore dire qui est Saint Thomas Quand ton heure arrivera
Refrain (x2) : Parce qu'on sait jamais On regarde vers le haut S'il y a un après
Et alors on baisse les bras pour venir se faire bâtonner D'y avoir cru tellement peu et de vouloir se racheter
Refrain (x2) : Parce qu'on sait jamais On regarde vers le haut S'il y a un après
CA MARCHE Tout est dans l'allure, C'est une certitude, Tout est dans le style et la pause attitude, Mets des crabes dans un panier, C'est la société, Des panurges et des requins associés,
Ca marche Bras dessus et bras dessous, Ca marche L'un sur l'autre dans la boue, Ca marche Tant qu'on peut encore debout Monter les marches,
Ca roule Sans respect, ni foi, ni loi, S'écroule Sur ceux qui font pas le poids, Ca tourne Et ça tournera comme ça Tant qu'ça marche,
Chacun ses blessures Et ses habitudes, Chacun dans la jungle a sa soif d'altitude, Des loups dans la bergerie Bestiale comédie, Depuis que l'immonde et monde sont unis,
Ca marche Bras dessus et bras dessous, Ca marche L'un sur l'autre dans la boue, Ca marche Tant qu'on peut encore debout Monter les marches,
Ca roule Sans respect, ni foi, ni loi, S'écroule Sur ceux qui font pas le poids, Ca tourne Et ça tournera comme ça Tant qu'ça marche,
L'homme est un animal Qu'on dit civilisé, Pour qui tout est parades et mondanités, Entre mâles et femelles, C'est une espèce en voie de disparité,
La la la la la la la, Oh no, oh la la la, Houu la la la la la la la, Oh no hoho,
Bras dessus et bras dessous, L'un sur l'autre dans la boue, Tant qu'on peut encore debout Monter les marches, Oh sans respect Sur ceux qui font pas de poids Et ça tournera comme ça Tant qu'ça marche,
Ca marche Bras dessus et bras dessous, Ca marche L'un sur l'autre dans la boue, Ca marche Tant qu'on peut encore debout Monter les marches,
Ca roule Sans respect, ni foi, ni loi, S'écroule Sur ceux qui font pas le poids, Ca tourne Et ça tournera comme ça Tant qu'ça marche,
La la la la la la la, (ça marche, ça marche) Oh no, oh la la la, (ça marche) Houu la la la la la la la.
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Plumes1 dans
Poésies & poèmes célèbres le
18 Août 2007 à 18:39
Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours. Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine. Vienne la nuit, sonne l'heure, Les jours s'en vont, je demeure. Les mains dans les mains, restons face à face, Tandis que, sous Le pont de nos bras, passe Des éternels regards l'onde si lasse. Vienne la nuit, sonne l'heure, Les jours s'en vont, je demeure.L'amour s'en va comme cette eau courante, L'amour s'en va. Comme la vie est lente Et comme l'espérance est violente. Vienne la nuit, sonne l'heure, Les jours s'en vont, je demeure. Passent les jours et passent les semaines, Ni temps passé , Ni les amours reviennent. Sous le pont Mirabeau coule la Seine. Vienne la nuit, sonne l'heure, Les jours s'en vont, je demeure.
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Plumes1 dans
Poésies & poèmes célèbres le
18 Août 2007 à 18:37
Il a dévalé la colline, Ses pieds faisaient rouler des pierres. Là-haut, entre les quatre murs, La sirène chantait sans joie. Il respirait l'odeur des arbres, Il respirait de tout son corps, La lumière l'accompagnait Et lui faisait danser son ombre. Pourvu qu'ils me laissent le temps ! Il sautait à travers les herbes, Il a cueilli deux feuilles jaunes Gorgées de sève et de soleil. Les canons d'acier bleu crachaient De courtes flammes de feu sec. Pourvu qu'ils me laissent le temps ! Il est arrivé près de l'eau,Il y a plongé son visage, Il riait de joie, il a bu. Pourvu qu'ils me laissent le temps ! Il s'est relevé pour sauter. Pourvu qu'ils me laissent le temps ! Une abeille de cuivre chaud L'a foudroyé sur l'autre rive. Le sang et l'eau se sont mêlés. Il avait eu le temps de voir, Le temps de boire à ce ruisseau, Le temps de porter à sa bouche Deux feuilles gorgées de soleil, Le temps de rire aux assassins, Le temps d'atteindre l'autre rive, Le temps de courir vers la femme. Juste le temps de vivre.
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