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Par
Plumes1 dans
Mes poèmes le
15 Août 2007 à 14:28
Si ce soir tu me regardesDe ton paradis d'étoiles
Vois ces milliers de baisers
Que je t'envoies depuis ma fenêtre.
Si ce soir tu peux sentir
De ton paradis d'étoiles
Sens ces pétales de roses
Que je t'envoies depuis ma fenêtre.
Si ce soir tu peux t'éloigner
De ton paradis d'étoiles
Tends ton visage vers moi
Que je le caresse depuis ma fenêtre.
Si ce soir tu peux me parler
De ton paradis d'étoiles
Dis-moi que tu es bien
Que je te sourie depuis ma fenêtre.
Si ce soir tu m'entends
De ton paradis d'étoiles
Alors écoutes ces mots
Que je te dis depuis ma fenêtre:
"Je t'aime Grand-Père."
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Par
Plumes1 dans
Ma philosophie le
14 Août 2007 à 23:24
Imaginez-vous
en croisière. Vous êtes en pleine mer glaciale lorsque le paquebot fait
naufrage. De ce fait les canots de sauvetage sont jetés à l'eau, et
vous embarquez à bord.
Seulement voilà, les canots sont prévus pour 20 personnes et vous êtes 21. Il est prêt à chavirer.
Il y a
un blessé mortel à bord et la seule solution pour ne pas chavirer et
rester en vie avec les 19 autres personnes est de jeter le blessé, que
vous savez totalement perdu puisqu'il ne survivra pas à ces blessures,
par dessus bord.
Il
semblerait, d'après une étude faite (étude relatée dans le magazine
"Sciences et Vie") que la pluspart d'entre nous préfèrerait prendrre le
risque de chavirer plut^t que de jeter à la mer l'homme blessé. Cela
s'appelle le sens moral. Il rest tout de même une minoroté qui, sans
hésiter, "jèteraient" l'homme à la mer.
Savons-nous
réellement distinguer le bien du mal ? Comment reconnaître que telle
action est bonne ou injuste ? Si nous reprenons notre exemple les
questions seraient celles-ci:
- Est-ce bien de tuer un homme (qui est déjà condamné) pour en sauver 20 ou est-ce mal ?
- Où est le bien ( ou le mal ) dans cette action ?
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Par
Plumes1 dans
Ma philosophie le
14 Août 2007 à 23:18
La liberté, dans son sens le plus large, est l'aisance de faire ce qu'il nous plaît sans aucune obligation ni limite.Cependant, le système qui nous entoure nous régit de ses lois et de ses règles. Il en va de même de notre propre corps qui nous gouverne en nous imposant des frontières à nos forces physiques. En voici d'ailleurs une définition de Thomas Hobbes qui dit "communément on tient que la liberté consiste à pouvoir faire tout ce que bon nous semble et que la servitude est une restriction à cette liberté. Mais on le prend fort de ce biais-là ; car, à ce compte, il n'y aurait personne libre dans la république."Il en va de soit que la liberté ne peut-être graduée sur un échelle. Soit nous sommes totalement libre soit nous ne le sommes pas du tout. L'homme est-il donc réellement libre ? Où devons-nous interpréter le sens de la liberté autrement ?
Si mon corps et mes et mes envies sont toujours contraint par des limites, ma pensée,elle, est libre d'aimer ou de ne pas aimer, d'être d'avis contraire à une majorité. Ma pensée est libre d'être non-conformiste. Elles peut-être insoumise. Néanmoins, certaines pratiques n'agissent-elles pas sur ma pensée ? Ma pensée est-elle libre ou paraît-elle libre ? Questions à méditer. Donnez-moi votre avis!
REFERENCES: - Kant: Réflexions sur l'éducation- Nietzsche: Humain, trop humain- Rousseau: Discours sur l'inégalité- Sartre: L'être et le néant et L'âge de raison- Voltaire: Dictionnaire philosophique
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