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    Mon cerveau se déchaine, mon cerveau réfléchi, mon cerveau dévore des livres.
     

    Voici un petit extrait que j'aime particulièrement. Il correspond exactement à ma façon de penser sur le comment vivre.

    "Je m'en allais dans les bois
    Parce que je voulais vivre sans hâte
    Je voulais vivre intensément
    Et sucer toute la moelle de la vie
    Pour ne pas découvrir
    A l'heure de ma mort
    Que je n'avais pas vécu"
    Le Cercle des poètes disparus

    Ce blog est en fin de compte une description personnifiée de moi même. Il évoque ce que j'aime, ce que je pense, ce que je suis.
    Ce blog c'est moi à travers l'écriture et les chansons entre autre.
    Je suis comme je suis. On m'aime ou on ne m'aimes pas, de toute façon je ne changerais pour rien au monde. Je resterais telle que je suis toute ma vie sans jamais rien changer. Alors tant pis pour ceux qui ne m'aiment pas il faudra qu'il fasse avec moi!!!!!!!!!
    Je resterais toujours intègre à moi même. Et je suis très fière de ce que je suis.

    Un gros bisous à tous ceux que j'aiment (et qui m'aiment):
    Jean-Noêl, Jérome, Véro, Jean-Pierre, Nadia, Véro (une autre), Dom, Juju, Pascaline, Armelle,  Chlo, Bapt,  papa, maman, Alexandre,  beau-papa, belle-maman, Jacques, Barkissa, Anne, Lionel, Marie-Georges, Alex, Sylvie, Thierry, Christian, Laurent, Rachelle, Isa, Jé, Shy, Jeff, Loulou, Aurélien, Adrien, Angélique, Michaël, Amélie, Laura, Rémy, Andréa, Gaby, Aurèle, ....

    Et mon grand-père d'amour qui me manque beaucoup et pour qui je pleures encore certains soirs: Charlot
    D'ailleurs le titre de mon blog est un hommage à lui: CHARLESBOOKS.


     
    Encore autre chose de moi. Ca ? C'est ma chanson ! Elle reflète le monde d'aujourd'hui ! J'en pense pas moins ! Mais avec moi, dans ce monde de M.... vous n'aurez pas
     
    MA LIBERTE DE PENSER


    Quitte à tout prendre
    Prenez mes gosses et la télé
    Ma brosse à dents, mon revolver
    La voiture ça c'est déja fait
    Avec les interdits bancaires
    Prenez "mon homme", le canapé
    Le micro ondes, le frigidaire
    Et même jusqu'à ma vie privée
    De toute facon à découvert (et oui moi aussi, comme 80% des français: c'est mon banquier qui me l'a dit!)
    Je peux bien vendre mon âme au diable
    Avec lui on peut s'arranger
    Puisqu'ici tout est négociable.
    Mais vous n'aurez pas
     
    MA LIBERTE DE PENSER
     
    Prenez mon lit les disques d'or ma bonne humeur,
    Les p'tites cuillères tout c'qu'à vos yeux a de la valeur
    et non je n'ai plus rien à faire
    Quitte à tout prendre n'oubliez pas
    Le shit planqué sous l'étagère
    tout c'qui est beau et compte pour moi
    J'préfère qu'ça parte à l'abbé Pierre
    j'peux donner mon corps à la science
    Si y a quelque chose à prélever
    et que ça vous donne bonne conscience
    mais vous n'aurez pas
     
    MA LIBERTE DE PENSER
    MA LIBERTE DE PENSER
     
    Hepppppppppppp
    Hepppppppppppp
     
    J'peux vider mes poches sur la table
    Ca fait longtemps qu'elles sont trouées
    Baisser mon froc j'en suis capable
    Mais vous n'aurez pas
     
    MA LIBERTE DE PENSER
     
     
    Quitte à tout prendre et tout solder
    Pour que vos p'tites affaires s'arrangent
    J'prends juste mon pyjama rayé
    je vous fais cadeau des oranges
    Vous pouvez bien même tout garder
    J'emporterai rien en enfer
    Quitte à tout prendre j'préfère y aller
    Si l'paradis vous est offert (jamais au paradis avec les patrons et les voleurs de fric!)
     
    HEEEEEEEEEEEEE
     
    Je peux bien vendre mon âme au diable
    Avec lui on peut s'arranger
    Puisqu'ici tout est négociable
    Mais vous n'aurez pas
    Non vous n'aurez pas
     
    MA LIBERTE DE PENSER
    MA LIBERTE DE PEN......SER
     
    En fait, un auto portrait de moi sans image ni dessin c'est 100% cette chanson c'est tout!!!!!!!!!!!!
    Un peu REVOLUTIONNAIRE quoi!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

     


  • C'est l'histoire d'une femme tiraillée entre l'amour de son papa, grand flic, et celui de sa racaille d'amoureux, voleur au grand coeur. Il y a assez peu de sexe chez Musso mais tous les ingrédients sont à leur place. A vous de juger !


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  • Il était une fois un vieux et sa vieille, ils avaient une grande fille prénommée Alionouchka et un petit garçon - Ivan.
    Mais voici que le vieux et sa vieille viennent à mourir.

    Alionouchka et le petit Ivan restent seuls au monde.
    Comment vivre? Il faut trouver un travail. Alionouchka prend le petit frère par la main, et les voilà qui marchent sur la route très longue, dans la plaine très vaste - au bout de quelque temps le petit Ivan veut boire.
    - Soeurette Alionouchka, dit-il, j'ai soif !
    - Patiente, frérot, nous serons bientôt au puits.
    Ils marchent, donc, ils marchent, or le soleil est haut dans le ciel, le puits est loin, la chaleur - cuisante, la peau - transpirante. Mais qu'est-ce là, sur la route? Un joli sabot de vache, et plein d'eau !
    - Sœurette Alionouchka, je m'en vais boire à ce sabot.
    - N'en fais rien, frérot, tu vas te changer en un petit veau.
    Ivan se fait une raison et ils poursuivent leur chemin.
    Or le soleil est haut dans le ciel, le puits est loin, la chaleur - cuisante, la peau -transpirante. Et qu'est-ce là encore sur la route? Un joli sabot de cheval, et plein d'eau!
    - Sœurette Alionouchka, je m'en vais boire à ce sabot.
    - N'en fais rien, frérot, tu vas te changer en un petit poulain.
    Il pousse un gros soupir, Ivan, et ils poursuivent leur chemin.
    Ils marchent, ils marchent, or le soleil est haut dans le ciel, le puits est loin, la chaleur - cuisante, la peau - transpirante. Mais qu'est-ce là, pour la troisième fois, sur la route? Un joli sabot de bique, et plein d'eau !
    Le petit Ivan dit :
    - Sœurette Alionouchka, je n'en puis plus, donne que je me désaltère à ce sabot.
    - N'en fais rien, frérot, tu vas te changer en petit biquet.
    Mais Ivan ne l'écoute plus, il boit l'eau du sabot de bique.
    n la boit et il se change en biquet !
    Quand à présent Alionouchka hèle son frérot, c'est un petit biquet tout blanc qui accourt à la place d'Ivan!
    Et de pleurer, Alionouchka, à chaudes larmes, de s'asseoir à l'ombre d'une meule et de pleurer encore, tandis que le gentil biquet gambade et muse autour d'elle.
    Passe à ce moment sur la route un riche marchand en voiture. Il demande :
    - Qu'est-ce donc qui tant te fait pleurer, ma jolie ? Alionouchka lui fait le récit du malheur qui la frappe. Le marchand rétorque :
    - Pardi, marie-moi. Je te vêtirai d'or et d'argent, et le biquet blanc restera auprès de nous.
    Alionouchka réfléchit, et ayant réfléchi elle accepte de marier le marchand.
    Alors ils se mettent en ménage, et le petit biquet avec eux, il partage même l'écuelle de la grande sœur pour le manger et pour le boire.
    Un jour cependant le marchand s'est absenté de chez lui. D'où sort-elle, je ne sais, mais c'est le moment que choisit une méchante sorcière pour venir faire un tour par là. Elle s'arrête sous la fenêtre d'Alionouchka et l'entreprend avec tout plein de mots aimables, allons nous baigner à la rivière, dit-elle.
    Et Alionouchka y va.
    Au bord de la rivière, la sorcière se jette sur elle, lui attache la pierre au cou et la pousse dans l'eau profonde!
    Après quoi elle se change en Alionouchka, elle passe sa jolie robe et elle s'en vient en sa maison. Nul ne devine que c'est la sorcière. Le marchand, à son retour, pas plus que les autres.
    Seul le petit biquet est au courant de tout. Grand est son chagrin, il ne boit plus rien ni ne mange, matin et soir il va et vient au bord de la rivière et il appelle :
    - Alionouchka, sœurette!
    Remonte du fond de l'eau, remonte vite !
    La sorcière qui apprend la chose, aussitôt presse le mari de le tuer ce biquet, tu entends, dit-elle, tu vas me le tuer!
    Le marchand, il a pitié du petit biquet, il l'aime bien. Mais la sorcière tant le presse et insiste qu'à la fin, que faire, il se rend :
    - Allez ! Mais c'est toi qui fais ça...
    Et la sorcière commande d'allumer de grands feux, de chauffer les marmites de bonne fonte, d'affûter les coutelas de bon acier.
    Le biquet a tout compris - ses heures sont comptées, aussi parle-t-il ainsi à son père adoptif :
    - Laisse-moi, avant de mourir, descendre à la rivière, boire de son eau, m'en rincer les tripettes...
    - Pourquoi pas ? Va.
    Il court vite à la rivière, le petit biquet, il s'arrête au bord de l'eau, il appelle d'une voix à fendre l'âme :
    - Alionouchka, sœurette!
    Remonte du fond de l'eau, remonte vite !
    Les grands feux sont allumés,
    Les marmites de bonne fonte mises à chauffer,
    Les coutelas de bon acier affûtés
    Ils veulent me tuer !
    Lui répond Alionouchka du fond de la rivière :
    - Hélas, Ivan mon frérot,
    Trop lourde la pierre qui me tient au fond de l'eau,
    L'algue agile entrave mes jambes,
    Le sable jaune emprisonne ma poitrine...
    Or la sorcière est déjà à la recherche du biquet et ne le trouvant pas, elle dépêche le domestique :
    - Va et m'amène le biquet, lui ordonne-t-elle.
    Le domestique descend à la rivière, et que voit-il ? Le biquet qui va et vient au bord de l'eau et qui appelle d'une voix à fendre l'âme :
    - Alionouchka, sœurette !
    Remonte du fond de l'eau, remonte vite !
    Les grands feux sont allumés,
    Les marmites de bonne fonte mises à chauffer,
    Les coutelas de bon acier affûtés
    -Ils veulent me tuer !
    Et on lui répond du fond de la rivière :
    - Hélas, Ivan mon frérot,
    Trop lourde la pierre qui me tient au fond de l'eau,
    L'algue agile entrave mes jambes,
    Le sable jaune emprisonne ma poitrine...
    Le domestique court vite à la maison, rapporter au marchand ce qu'il a vu et entendu à la rivière. Les gens se rassemblent en hâte, ils y courent, ils lancent leurs grands filets de soie et remontent Alionouchka du fond de l'eau. Ils détachent la pierre à son cou, ils plongent l'infortunée dans l'eau de source, ils lui mettent sa plus jolie robe. Et Alionouchka revenue à la vie est encore plus belle qu'avant!
    Et le biquet, si grande est sa joie qu'il fait trois fois la cabriole et redevient le petit garçon Ivan comme devant.
    Quant à la méchante sorcière, on l'attache à la queue d'un cheval et on la lâche dans la plaine très vaste, bon voyage !

     


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  •   "Rendez-vous n'importe où" est une librairie dédiée à la jeunesse. Elle a ouvert ces portes en 2005 à Pontivy dans le Morbihan. Dans cet espace vous y trouverez de la littérature de jeunesse et des bandes dessinées.

    Les propriétaires de ce petit bijou sont Sophie Mallet et Marine Montois, 2 femmes amoureuses de la littérature.

    Pour les amoureux de ce genre littéraire, cette librairies est une aubaine, car une très grande part est laissée est laissée aux petits éditeurs, ainsi vous pourrez y dénicher  d'autres références, qui ne se touvent pas dans les supermarchés du coin.

    Pour ceux qui seraient tentés ou ceux qui sont de passage voici l'adresse postale de cette librairie:

    Rendez-vous n'importe où

    26 Rue Pont

    56300 Pontivy


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